Dans le cadre des norsys Biodiv awards, les collabs gagnants (Régis, Mohamed, Charles, Marjorie, Aline) se sont mis d’accord pour soutenir l’association Biodiversio, située à Tours.
Biodiversio est née de l’idée d’être un transmetteur de bonnes pratiques en matière de biodiversité par l’exemple et d’utiliser le foncier de l’entreprise comme vecteur d’une éducation populaire, débutant par celles et ceux qui y vivent.
Voici le projet auquel la fondation norsys apporte son soutien :
L’objectif du projet : Freiner la chute de la Biodiversité par l’éducation participative
- Permettre de comprendre ce qu’est la biodiversité
- Faciliter l’acquisition d’outils utiles à son environnement
- Aider à développer sa capacité d’agir localement
- Approfondir sa connaissance de son espace de vie
- Optimiser la biodiversité dans l’entreprise
- Mesurer l’amélioration en biodiversité de son lieu de vie
- Créer un outil transmissible aux autres associations locales
Concrètement,
Biodiversio a bâti un projet de formation incluant des sciences participatives.
- Ce protocole de sciences participatives restera implanté en un lieu, entreprise, cours d’école, jardin partagé, et devra être simple et transposable.
- Il sera complété d’un ou plusieurs capteurs automatiques pour solidifier les données sur la biodiversité locale. L’objectif est de rendre les bonnes pratiques pérennes, en motivant les acteurs, salariés, usagers, enfants…
- Concrètement, une équipe de 3 chercheurs bénévoles et d’un informaticien travaille sur le traitement des données, d’une Étudiante Agro et d’une salariée d’une grande entreprise
- Les besoins matériels sont : 3 terrains (une école, une entreprise, un jardin) mis gracieusement à disposition des piquets bois, des clous, des plaques (tôle), des smartphones avec 2 applications téléchargées ordinateurs appareils photos moyens de locomotion 1, idéalement 2 capteurs à ultrasons conçus par Véolia et le Muséum d’Histoire Naturelle et distribués par BIRDZ
- C’est ce dernier poste qui est le plus onéreux (4500€ le capteur) Il permettrait dès cet été, d’engranger des données sur les orthoptères (sauterelles), chiroptères (chauve-Souris) et oiseaux.
